
Je suis une cougar, et je veux juste te baiser
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Je ne cherche pas un mec. Je cherche une queue jeune.
J’ai 47 ans. Divorcée. Libre. Et en chaleur.
Je ne veux pas de compliments. Je ne veux pas de "t’as de beaux yeux".
Je veux un jeune mec. Un gosse insolent. Qui bande dur et pose pas de questions.
Un mec que je peux baiser, vider, et foutre dehors.
Ce soir-là, je l’ai croisé dans une salle de sport. 24 ans. Insolent. Insolent comme j’aime.
Il m’a dit :
— Vous êtes bien pour votre âge.
Je lui ai répondu :
— Enlève ton tee-shirt et viens me le prouver.
Je l’ai ramené chez moi, et je l’ai dressé
Il était nerveux. Moi, j’étais déjà trempée.
Je lui ai ouvert la porte en nuisette. Pas de culotte. Il a bloqué.
Je l’ai plaqué contre le mur. J’ai glissé ma main dans son jean. Il bandait comme un taureau.
— Ferme-la. Pose pas de question. Baise-moi bien, ou je te jette.
Je l’ai fait asseoir. Je l’ai chevauché. Mes seins dans sa gueule, mes ongles dans sa nuque.
Il tenait à peine le rythme. J’ai imposé le mien. Fort. Sale. Mouillé.
Je le monte jusqu’à le faire supplier
Il voulait jouir. Je le sentais.
Je me suis arrêtée. Il a gémi. Je l’ai giflé.
— Pas encore. Tu jouiras quand moi je te le dirai.
Je me suis frottée sur lui. J’ai joui une première fois. Puis une deuxième.
Lui, il tremblait. Il craquait.
Il m’a suppliée.
— S’il te plaît… laisse-moi jouir…
— Allez. Gicle. Sale petit chien.
Il a joui comme un ado. Et je l’ai viré.
Il a explosé. Dans un râle. Dans un cri presque honteux. Il s’est vidé en moi, totalement.
Je l’ai repoussé.
— Douche-toi. Et dégage. J’ai pas ton temps.
Il m’a regardée. Choqué. Bandé encore.
Moi, j’étais déjà allongée, clope à la main.
Cougar ? Oui. Mais pas ta meuf. Ta baise. Ton défi. Ta punition.