Il m’a baisée pendant que je dormais, comme je lui avais demandé

Il m’a baisée pendant que je dormais, comme je lui avais demandé

Je fantasme depuis toujours sur l’abandon total

Je suis une femme qui aime garder le contrôle. Mais dans le sexe… c’est tout l’inverse.
Je bande sur l’idée de ne rien gérer, de ne rien voir venir, de ne pas pouvoir dire non.
J’en ai souvent parlé avec lui. Et un soir, dans le noir, je lui ai murmuré :

— Si un jour tu veux me prendre pendant que je dors… fais-le.
— Tu me donnes le droit ?
— Je te le donne. Totalement.

Je lui ai même avoué que, parfois, quand il s’endormait, je mettais mes écouteurs et j’écoutais du téléphone rose soumise sur des sites spécialisés.
Juste pour sentir ce vertige, ce glissement dans l’interdit, cette sensation d’être manipulée doucement, salement, sans pouvoir réagir.

Il n’a rien répondu. Juste un regard. Il a gardé ça en lui.
Et quelques jours plus tard, il a agi.


Je m’étais couchée nue. Volontairement. Offerte.

Ce soir-là, je n’avais mis ni culotte, ni pyjama.
Juste un drap fin sur la peau. Les cuisses ouvertes. Le souffle calme.
Je savais qu’il allait venir. Et je le voulais.

Je me suis endormie lentement. Excitée. Humide.
Je me suis même caressée doucement avant de sombrer, pour que ma chatte soit déjà trempée au cas où il ose.

Et puis… j’ai senti son corps contre le mien. Une heure indéfinie.
Je dormais à moitié. Mais je le sentais.


Il m’a pénétrée doucement, comme s’il entrait dans un secret

Sa main a écarté mes cuisses. Son bassin s’est collé au mien.
Et sa queue… s’est glissée en moi. Doucement. Entièrement. Sans un mot.

J’ai eu un frisson. Pas de peur. De plaisir.
J’ai senti mon sexe s’adapter à lui, s’ouvrir, dégouliner.

Il me baisait pendant que je dormais. Et j’adorais ça.

J’ai laissé mon corps mou. Passif. Tremblant. Il tenait mes hanches. Il me prenait lentement, longuement.
Je me suis mordue la langue pour ne pas gémir trop tôt. Pour qu’il pense que je dormais encore.


Il m’a baisée comme une poupée. Sans tendresse. Juste du sexe.

Son rythme s’est accéléré.
Ses mains sont devenues plus fermes. Il grognait doucement.
Je sentais son souffle dans ma nuque, sa queue claquer en moi, mes fesses rebondir sous ses coups de reins.

Il ne cherchait pas à me faire l’amour. Il me baisait. Point.
Comme il aurait baisé une inconnue, une pute, une salope qu’il avait le droit de prendre.
Parce que je lui avais offert ce droit.
Parce que j’en crevais d’envie.


J’ai joui comme une salope endormie

Je suis venue. Fort. Long. Silencieusement.
Je serrais les draps. Les dents. Les cuisses.
Il continuait à me prendre. À me remplir. À m’user.
Et j’en voulais encore.

Il a grogné. A pilonné. A tenu. Puis il a joui en moi, profondément.
Sans s’arrêter. Sans retirer. Sans me réveiller.
Et c’était exactement ce que j’avais rêvé.


Il s’est retiré, s’est recouché. Et moi, j’étais encore ouverte

Je n’ai pas bougé. J’ai senti le sperme couler entre mes cuisses.
J’ai respiré lentement. J’ai souri.
Et je me suis rendormie. Usée. Détruite. Remplie.

Il m’avait baisée pendant que je dormais.
Et ce ne serait pas la dernière fois.

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