
J’ai baisé la nouvelle compagne de mon père, et j’en veux encore
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Elle était plus jeune que lui. Et presque de mon âge.
Il l’a ramenée après le divorce. Brune, yeux verts, mini-robe noire, seins parfaits.
Elle m’a regardé de haut en bas quand je suis entré dans le salon. J’ai senti direct : cette meuf-là, elle jouait un rôle. Mais dessous, c’était une salope.
Elle me parlait comme une belle-mère. Mais elle me matait comme une chienne.
Je me suis chauffé seul pendant des semaines. J’écoutais des trucs de téléphone rose soumise, des meufs qui me parlaient comme elle, qui me dominaient doucement…
Et je me branlais en pensant à elle. À sa bouche. À ses jambes.
À son envie de se faire baiser par quelqu’un qui n’a rien à lui prouver.
Mon père est parti faire des courses. Elle, elle est restée.
Je l’ai croisée dans la cuisine. Elle portait un débardeur sans rien dessous.
Elle a tendu le bras pour attraper un verre. J’ai vu tout.
Elle s’est retournée. M’a souri.
— Ton père est pas là.
— Je vois.
— Tu vas rester sage ?
— Pas sûr.
Je me suis approché. Lentement. Elle n’a pas bougé.
Je l’ai attrapée par la taille. Elle a glissé sa main sur ma queue à travers le jean.
— Tu bandes pour moi depuis le premier jour, hein ?
— J’vais te le montrer.
Je la plaque contre la table et je la prends comme une pute
Elle a levé la jambe. A écarté sa culotte.
Et je l’ai prise. D’un coup. Sans prévenir.
Contre la table de la cuisine. Les mains sur le bois. Les seins nus.
Elle gémissait comme une actrice. Je la baisais comme un voleur.
— C’est ça que t’aimes ?
— Oui… plus fort… fais-moi jouir dans cette putain de cuisine.
Je l’ai déchirée. Chaque coup de rein la faisait trembler.
Elle dégoulinait. Moi j’étais hors de moi. Je la prenais comme si je voulais la voler à mon père.
Elle m’a supplié de jouir en elle, de lui foutre tout
Elle s’est retournée, s’est mise à genoux. A pris ma queue en bouche.
Lentement. Profondément. Sans m’épargner.
Puis elle s’est rallongée. Écartée. Prête.
— Viens… J’veux ton foutre. Dedans.
Je l’ai prise à fond. Jusqu’au bout. Jusqu’à jouir comme un chien.
Elle s’est accrochée à moi. S’est mordue la main pour ne pas hurler.
Mon père est rentré 10 minutes plus tard. Elle avait encore ma mouille en elle.
Elle l’a embrassé sur la joue. M’a regardé du coin de l’œil.
Moi j’étais là. Silencieux. Le cœur battant.
Et ma queue qui bandait encore.
J’avais baisé la compagne de mon père. Et elle en redemande.