Je me suis faite baiser dans une grange, comme une bête

Je me suis faite baiser dans une grange, comme une bête

Il bossait torse nu, en bottes, et je mouillais déjà

Je venais pour un week-end à la campagne, chez des amis.
Lui, c’était leur voisin. Agriculteur. Silencieux. Immense. Des bras comme des poutres, le regard dur, les mains calleuses.

Quand je l’ai vu torse nu, en train de porter des bottes de foin, j’ai senti mon ventre se serrer. Il ne disait rien. Mais ses yeux parlaient.
Je portais un short en jean trop court. Il l’a vu.

Il a craché par terre, s’est approché.
— Tu fais quoi, là ?
— Je regarde.
— T’as pas mieux à faire que de mater ?
— Si. Me faire démonter.

Il m’a emmenée dans la grange, sans prévenir

Il n’a rien dit. Il m’a saisie par le poignet. Il m’a tirée vers la grange, derrière la stabulation. Il a claqué la porte. Odeur de paille, de sueur, de bête.
Il m’a poussée contre une botte, m’a plaquée. A attrapé ma nuque. Et il m’a embrassée comme un voleur.

Mon short est descendu d’un coup. Pas de culotte. Il a souri.
— J’vois que t’étais prête.

Il me baise comme une truie en chaleur

Il m’a mise à genoux sur la botte. A soulevé ma chemise. Et il m’a pénétrée d’un coup. Sans tendresse.
Je me suis agrippée à la corde. Mes genoux glissaient dans la paille. Mon cul claquait contre son bassin.
Je me faisais baiser comme une bête. Et j’adorais ça.

— C’est ça que tu veux ? Hein ? Une baise sale dans la grange ?
— Oui… défonce-moi…

Il me tirait les cheveux. Me crachait sur le dos. Me tenait comme si j’étais sa propriété.

Je jouis dans le bruit des sabots et du vent

Des vaches meuglaient dehors. Le vent faisait grincer les poutres. Et moi, je hurlais contre la paille.
Je suis venue violemment. Mon corps a tremblé. J’ai crié son prénom.
Mais il n’en avait pas fini.

Il m’a retournée. A planté sa queue dans ma gorge. Je l’ai prise sans réfléchir. J’étais salie. Vibrante. Vivante.

Il jouit sur mes seins, me regarde, puis repart

Il a fini en me tenant fort. Sur mes seins, sur mon ventre, sur la paille. Puis il a remonté son jean, a craché au sol.

— J’vais nourrir les bêtes. Tu nettoies, toi ?

Et il est sorti.

Moi, je suis restée là. À genoux. Dégoulinante. Avec du foutre sur la poitrine. Et la chatte encore ouverte.

Baiser à la ferme.
Rien de romantique. Juste brutal. Sauvage. Exactement comme je l’avais fantasmé.

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