
Il m’a baisée dans la cabine de son camion
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Il m’a prise en stop, j’étais déjà mouillée
J’étais plantée sur une aire, seule, sac sur l’épaule, short trop court. J’avais chaud.
Le soleil cognait, et j’avais marché des bornes. Puis il est arrivé. Grand, bronzé, l’air sec. Un routier, un vrai. Il m’a regardée de haut en bas.
— Tu vas où ?
— Là où tu veux m’emmener.
— Monte.
J’ai grimpé dans son camion. Et j’ai su. Avant même de claquer la portière, j’avais envie de me faire baiser. Là. Dedans.
L’ambiance dans la cabine était électrique
Il roulait en silence. Juste la radio, le moteur, son bras musclé sur le volant.
Moi, j’écartais les jambes petit à petit. Je voulais qu’il voie. Qu’il comprenne que je mouillais rien qu’à sentir son odeur de gasoil et de sueur.
À un moment, il a garé le camion sur une aire isolée. Il a coupé le moteur.
Il a tourné la tête.
— T’as envie ?
— Prends-moi.
Il m’a attrapée, sans un mot
Il a baissé son siège. A attrapé mon t-shirt. Me l’a arraché. A mordu mes seins sans ménagement.
Puis il m’a basculée sur la couchette derrière. Il m’a déshabillée comme un animal. Pas un mot. Juste des mains. Des griffures. De la salive.
J’étais nue, à quatre pattes, dans cette petite cabine crade, et je le suppliais déjà.
— Baise-moi. Maintenant.
Il me démonte sur la couchette crasseuse
Il m’a prise d’un coup, sec, profond. J’ai crié.
Il m’a tiré les cheveux. Il m’a frappée doucement sur le cul. Il me traitait comme une traînée. Et j’adorais ça.
Les murs du camion tremblaient. Le plafond vibrait.
— C’est ça que t’aimes, hein ? Te faire baiser dans un putain de camion.
— Oui… continue… plus fort !
Je dégoulinais. Mes seins claquaient contre la banquette. Mon ventre frottait le matelas sale. J’étais à lui.
Je jouis en le griffant, il crache sur moi
J’ai joui fort. Longtemps. En tremblant. En l’insultant.
Il m’a retournée. A craché sur mes seins, ma bouche, mon ventre.
Puis il m’a prise à nouveau, encore plus profond, encore plus bestial.
Il a fini en moi. Brutalement. Jusqu’au dernier coup de reins.
Je me rhabille, trempée, salie… vivante
Il m’a regardée. Pas un mot. Il s’est rassis au volant. A rallumé le moteur.
Moi, je me suis rhabillée, sans culotte.
Le sperme coulait entre mes cuisses pendant qu’il reprenait la route.
Baiser dans un camion. C’est pas du fantasme. C’est une addiction.