
Témoignage – La baise sauvage en cité U
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Un texto, une pulsion
J’étais en pyjama, pas coiffée, pas maquillée. Juste une petite culotte et un tee-shirt volé à mon ex. Il était 22h42.
Le message est tombé :
"T'es où ? J’monte."
Mon cœur a bondi. Il n’était pas question de réfléchir. J’ai regardé le bordel dans ma chambre minuscule de cité U, les pâtes froides dans l’évier, les fringues par terre. Rien n’était prêt.
Mais moi, je l’étais.
Il frappe. Je n’ouvre pas. Je le laisse forcer
Trois coups secs.
Je n’ai pas ouvert. J’ai juste laissé la porte entrebâillée. C’était une façon de dire : entre et baise-moi.
Il est entré, il a refermé derrière lui, sans un mot.
Il m’a regardée. Culotte apparente. Tétons visibles à travers le tee-shirt. Il a à peine haussé les sourcils.
— Sérieux ? T’es déjà prête comme ça ?
— J’t’attendais.
Il m’attrape, me plaque, me retourne
Il m’a chopée par les hanches, m’a poussée contre le mur en béton peint. Il a glissé sa main dans ma culotte.
— Putain… t’es trempée.
— Ferme-la. Prends-moi.
Il a tiré la culotte d’un coup sec. Un bruit sec. Déchirée.
Il l’a mise dans sa poche.
Il m’a retournée, plaquée contre le bureau IKEA, entre les livres de socio et le pot à stylos. Il m’a pénétrée d’un coup, sans prévenir. Mon cri a failli traverser le couloir. Les murs sont fins ici. Mais j’en avais rien à foutre. Qu’ils entendent.
Je me fais baiser sur ma chaise de bureau
Il m’a assise de force sur la chaise en plastique, m’a écarté les cuisses, et m’a prise comme une bête. Je glissais, je criais, je griffais ses bras.
Ma chatte claquait contre lui, mouillée à l’extrême. Il gémissait à peine, concentré, brutal.
— Tu penses que ton voisin t’entend là ?
— Je m’en fous. Baise-moi plus fort.
Il crache sur moi. Je le regarde comme une chienne
Il s’est arrêté. Il m’a regardée, transpirante, haletante. Puis il a craché entre mes seins.
Je l’ai regardé sans ciller.
— Encore. Crache-moi dessus.
Il l’a refait. Puis il m’a crachée dans la bouche. J’ai tout pris. J’ai tout avalé. Il m’a tenue par les cheveux.
— Tu veux que je te salisse ?
— Oui. je suis ta grosse Salope.
Il finit debout, moi à genoux
Je me suis laissée tomber à genoux. Il a sorti sa queue, l’a foutue dans ma gorge. Je me suis étouffée volontairement. Je pleurais. Ma salive coulait sur mes seins. J’étais offerte, bousillée, vivante.
Il a joui sur mon visage, en râlant, en gémissant. Je n’ai pas bougé.
Et après ? Rien. C’est ça la cité U
Il a remis son pantalon, sans me regarder.
— J’te rends pas ta culotte. Garde ça comme souvenir.
Il est sorti sans dire au revoir.
Je suis restée là, nue, dégoulinante, le cœur battant.
Et j’ai souri.
C’est ça, une baise en cité U. Brutale. Sale. Parfaite.