
J’ai baisé ma collègue dans une salle de réunion verrouillée
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On se chauffait depuis des semaines, sans jamais oser
Elle bosse dans l’open space en face du mien. Brune, lunettes fines, jupes trop serrées, regard trop long.
On n’avait jamais rien dit. Mais on se regardait. Chaque jour.
Des regards qui disent “j’te veux”, mais pas maintenant. Pas ici.
J’ai commencé à me chauffer seul. Des soirs, en rentrant, je pensais à elle.
Je l’imaginais me parler sale, me dominer. J’appelais même parfois une ligne de téléphone rose soumise, juste pour me vider en pensant à ses ongles sur ma gorge.
Et puis un jour, elle m’a pris par surprise.
— Viens. Salle 2. Maintenant.
Elle a verrouillé la porte et s’est assise sur la table
Pas un mot. Elle a fermé la porte, l’a verrouillée.
Elle s’est hissée sur la table. A croisé les jambes. A soulevé sa jupe.
Pas de culotte.
— J’vois comment tu me mates. J’te veux maintenant. Et t’as pas intérêt à me faire perdre mon temps.
Elle s’est allongée.
Moi j’étais déjà en feu. Ma queue durcissait sous le froc. Je l’ai sortie.
Elle m’a tendu la main. Me l’a prise. A craché dessus.
— Baise-moi. Comme un connard frustré.
Je la défonce entre le paperboard et la table de réunion
Je suis allé en elle d’un coup. Profond.
Elle a gémi fort. Trop fort. Je l’ai plaquée la main sur la bouche.
— Tu vas te faire entendre, salope.
— C’est ce que je veux.
Je la baisais sans réfléchir. Mon pantalon sur les chevilles. Sa jupe retroussée. Ses talons qui claquaient contre la table.
Elle dégoulinait. Me griffait. Me regardait droit dans les yeux.
— Tu veux me prendre, hein ? Depuis le jour où t’as maté ma bouche en réunion.
— J’vais te remplir.
Je jouis en elle pendant qu’elle se touche devant moi
Elle s’est mise sur moi. A calé ma queue au fond.
Et a commencé à se frotter le clito, en me fixant.
Je bandais comme un fou. J’avais l’impression d’être pris au piège. Et j’adorais ça.
Elle me serrait. Me pompait. Et jouissait sur ma queue.
Je suis venu en elle. Fort. Long. En grognant.
Elle s’est léchée les doigts. S’est recoiffée.
Elle a quitté la salle. Moi, j’ai mis 10 minutes à retrouver mon souffle
Elle m’a regardé en partant.
— Reviens me voir après la pause déj. J’vais être encore mouillée.
J’avais baisé ma collègue. Et je savais que c’était que le début.