Il m’a baisée dans un bar local, sans même me demander mon prénom

Il m’a baisée dans un bar local, sans même me demander mon prénom

Je suis entrée pour pisser. J’en suis ressortie trempée.

J’étais de passage dans cette ville morte. Rien à faire. Rien à voir.
Juste un petit bar PMU crade, ouvert en pleine après-midi.
Je suis entrée pour choper un café et pisser vite fait.

Et je l’ai vu.
Le gars du coin. En jogging. Gilet sans manches. Rasé de près. Les yeux noirs. Le regard franc.
Il m’a fixée. Il a pas souri. Il a pas bougé.

Et j’ai mouillé.

Il m’a suivie dans l’arrière-salle. Sans un mot.

J’ai laissé la porte des chiottes entre-ouverte.
J’ai croisé son regard dans le miroir. Il s’est levé. M’a suivie. A fermé la porte derrière lui.
Aucun mot. Aucune politesse.

Il a plaqué sa main sur ma bouche. A glissé l’autre dans mon jean.
J’étais déjà trempée.

— T’es pas d’ici, hein ?
— Non…
— Mais t’es venue pour ça.

Il me retourne contre la porte métallique

Il a baissé mon jean d’un coup. Pas de culotte. Il a grogné.
— Putain… quelle petite salope.

Il m’a baisée comme une bête. Contre la porte des chiottes. Le cliquetis de la poignée vibrait à chaque coup de rein.
Ses mains m’écrasaient les hanches. Ses mots me détruisaient.

— T’as besoin qu’un mec du coin te défonce, hein ?
— Oui… baise-moi.

Je jouis sur son foutre, la joue contre le carrelage

J’ai explosé. Ma joue sur la porte. Ma chatte dégoulinante.
Il a sorti sa queue. M’a retournée. M’a fait m’agenouiller. Et il m’a joui dessus.
Sur la bouche. Le cou. Le tee-shirt. Sale. Brut. Local.

Il s’est recoiffé, a ouvert la porte, et s’est barré sans me regarder.

Moi, j’étais encore nue, à genoux, la gorge serrée, la chatte brûlante. Et j’en voulais encore.

Baise locale. Pas d’attache. Juste du cul brut, sans étiquette.

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