
J’ai baisé la factrice dans l’entrée, entre deux tournées
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Je la matais tous les matins, short moulant et bottes aux pieds
Elle livrait tous les jours dans mon quartier. Toujours à la même heure.
Casquette vissée, lunettes de soleil, short trop court, sac sur l’épaule, et cette façon de marcher...
Elle transpirait la baise. Et moi, je bandais rien qu’à l’entendre monter l’escalier.
Je passais mes soirées à me finir seul, parfois en appelant des lignes de téléphone rose soumise, en imaginant sa voix me donner des ordres, me parler sale pendant qu’elle déposait une lettre.
Mais ce matin-là, y’a rien eu à imaginer.
Elle m’a regardé. M’a fixé. Et m’a dit :
— T’es pas au boulot toi ?
— Non. Repos.
— Alors déshabille-toi. Maintenant.
J’ai pas réfléchi. Elle avait déjà claqué la porte derrière elle.
Elle m’a poussé contre le mur, m’a pris la queue en main
Elle a posé son sac, s’est approchée. M’a attrapé par le col.
Ses doigts sont descendus dans mon short. Ma queue était déjà dure.
— Putain t’étais prêt… t’attendais ta factrice comme un chien en manque ?
Elle a souri. S’est agenouillée. A craché dessus. A commencé à me sucer comme une reine.
Sa langue tournait lentement. Ses lèvres me serraient comme une pute pro.
Elle me regardait du bas. Et j’étais foutu.
— T’as cinq minutes. Après je repars.
Elle m’a montée comme une vraie salope de tournée
Elle s’est levée. A baissé son short. Pas de culotte. Rasée. Trempée.
Elle m’a poussé contre le meuble à chaussures. A guidé ma queue. Et s’est empalée dessus d’un coup.
— Tu veux baiser la factrice ? Bah vas-y. Défonce.
Elle rebondissait comme une furie. Ses seins sortaient de son tee-shirt. Elle gémissait fort. Trop fort.
Moi j’essayais de tenir. Mais elle me pompait toute mon énergie.
Ses ongles me griffaient. Son souffle me rendait dingue.
— Tu vas me foutre ta crème dans le cul ou pas ?
Elle m’a tendu son cul et m’a ordonné de finir là
Elle s’est retournée, a écarté les fesses.
J’ai craché dessus. Elle s’est enfoncée toute seule.
Elle criait. Elle bandait. Elle vibrait.
Je tenais ses hanches. Je pilonnais comme un fou.
Et elle gémissait :
— Vas-y… jouis en moi… comme un sale voisin frustré.
Je suis venu. Fort. Profond. Tremblant.
Elle a repris son sac. M’a souri. Et s’est barrée.
— À demain peut-être. Si t’as du courrier à recevoir.
Elle a claqué la porte. Moi, j’étais à poil, le souffle coupé, la queue dégoulinante, encore incrédule.
J’avais baisé la factrice. Et j’espérais un recommandé dès le lendemain.