Je voulais qu’il me baise la bouche, jusqu’à m’étouffer de foutre

Je voulais qu’il me baise la bouche, jusqu’à m’étouffer de foutre

Je n’avais pas envie d’un plan love. Juste qu’il me prenne par la bouche.

Y’avait des jours comme ça. Où j’avais pas envie qu’on me caresse, qu’on me parle.
Juste qu’on me tienne la tête, qu’on me baisse la gorge, qu’on me fasse taire avec une queue.

Je l’ai texté :
— J’veux que tu viennes. Et que tu me baises la bouche. Pas un mot.

Il a répondu par un point. C’était assez.

Je m’étais déjà chauffée seule. En écoutant du téléphone rose soumise etudiante, des voix graves qui me disaient quoi faire, où me mettre, comment avaler sans broncher.
J’étais trempée avant même qu’il sonne à la porte.


Il a ouvert, baissé son pantalon, et me l’a mise en bouche

Il n’a pas parlé. Il a baissé son froc, sa queue est sortie, gonflée, tendue, prête.
Je me suis mise à genoux. Sans attendre.
Ma langue contre son gland. Ma salive qui coulait. Mon souffle court.

Je l’ai regardé.
Il m’a attrapée par les cheveux. Et a poussé.
Un coup. Deux. Puis plus profond.

— Tu voulais que j’te baise la bouche ? T’as intérêt à pas reculer.


Il m’a démontée la gorge, comme une salope à dresser

Il me tenait la tête. Me baisait avec sa queue comme s’il m’apprenait à respirer par le foutre.
Mes yeux pleuraient. Ma gorge se tendait. Mais ma chatte… coulait.

Il m’enfonçait sa bite jusqu’au fond.
— T’avales. Tu gémis pas. T’es juste un trou pour ma queue.

Et moi… j’adorais ça.

Je frottais mon clito contre le sol.
J’étais sa chose. Sa salope à gorge. Sa bouche à baiser.


Je jouis en silence, pendant qu’il me finit en bouche

Il a accéléré. A grogné.
Je sentais sa queue gonfler, battre, pulser.

Et d’un coup… il a joui au fond.
J’ai tout pris. Tout avalé. Ma bouche pleine, ma gorge tendue.
Il ne m’a pas lâchée. Jusqu’à la dernière goutte.

J’ai joui en même temps. Sans toucher. Sans bruit.
Juste avec sa queue dans ma bouche.


Il s’est rhabillé. Moi, je suis restée à genoux, la gorge brûlante

Il a remis son jean. A ouvert la porte.
— À la prochaine. Si t’as encore faim.

Et il est parti.

Moi, j’étais nue, en sueur, la bouche pleine de son goût.
Et j’en voulais encore.

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