
Il m’a fait jouir au téléphone en me parlant comme un chien
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Il m’a appelée à 23h13. J’étais déjà nue.
Je sortais de la douche. J’étais nue, encore humide, allongée sur le lit.
Le téléphone a vibré. Son prénom s’est affiché. J’ai décroché sans réfléchir.
— Allô ?
— Ferme les yeux. Écarte les jambes. Je m’occupe de toi.
Sa voix était grave. Lente. Il n’a pas demandé si je voulais. Il savait. Et moi, j’étais déjà mouillée.
Il me parle comme s’il me voyait
Il me décrivait tout.
Comment il m’imaginait.
Comment il allait me déshabiller. Me salir. Me retourner.
— Tu touches tes seins ?
— Oui.
— Tu glisses deux doigts dans ta chatte maintenant. Laisse pas traîner. J’veux t’entendre mouiller.
Je gémissais sans retenue. Ma main entre mes cuisses, mes jambes ouvertes, l’autre sur le téléphone collé à mon oreille.
Il ne respirait pas. Il dictait. Il possédait.
Il me contrôle, mot après mot
Il me parlait comme à une salope à lui. Me donnait des ordres. Des détails.
Il me disait comment il allait m’attraper par la gorge, me baiser sans douceur, me faire jouir contre un mur.
Et moi, je me touchais à chaque mot.
— Tu cries pas. Tu prends. Tu jouis pour moi, là, dans ton lit.
— Oui…
— Plus vite. Tu veux que je t’encule, hein ? Dis-le.
— Oui… je veux…
Je tremblais. J’étais à deux doigts. Mes doigts claquaient sur mon clito. Et sa voix me tenait en laisse.
Je jouis dans l’oreille, le téléphone trempé
Il a dit :
— Maintenant. Tu viens. Tu cries mon nom. Et tu restes ouverte pour moi.
Et j’ai explosé. J’ai gémi, crié, joui en secouant les draps. Le téléphone est tombé à côté de ma tête. Mon corps brûlait.
Je respirais fort. Lui aussi.
Silence.
Puis sa voix :
— J’vais te rappeler demain. Et tu seras encore plus sale.
J’ai dormi nue, le corps marqué par sa voix
Il ne m’a pas touchée. Il n’était même pas là.
Mais j’ai joui plus fort qu’avec beaucoup d’hommes.
Baiser au téléphone. C’est pas un jeu. C’est un art. Et je suis accro à sa voix.