Il m’a baisée au soleil, nue sur la pierre brûlante
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C’était censé être une sieste. Ça a fini en baise animale.
On était seuls, loin de tout. Une maison en pierre au milieu des oliviers. Personne à moins d’un kilomètre.
Le soleil cognait fort. J’étais en maillot, allongée sur une serviette. Et je le sentais me mater depuis dix minutes.
J’ai remonté mes hanches. Défait la ficelle. Et laissé mon cul à l’air. Juste pour lui.
Il n’a pas bougé. Il m’observait.
Moi, j’étais déjà mouillée. J’avais passé la matinée à me caresser dans la douche, à écouter un téléphone rose soumise pour m’exciter doucement, en imaginant me faire prendre en plein soleil, les yeux fermés, sans qu’il me parle.
Et là… j’avais envie qu’il le fasse. Maintenant.
Il m’a pénétrée sans prévenir, à genoux sur la pierre
Il est venu derrière moi. A baissé son short. Pas un mot.
Juste sa queue dure qui est entrée d’un coup.
La pierre brûlante sous mes genoux. Sa main dans mes cheveux. Mon cri étouffé dans la serviette.
Il me baisait comme une bête, à l’extérieur, au milieu des cigales.
Et moi, j’encaissais, offerte, cambrée, le dos moite, les seins collés contre la pierre brûlante.
— Tu veux jouir ici, salope ?
— Oui… j’veux que tu m’abîmes… au soleil…
Je criais sous le ciel bleu, et j’en voulais plus
Ses reins claquaient contre mon cul. Il me tenait fermement.
J’avais chaud. Trop chaud. Ma sueur coulait entre mes seins. Mon cul rebondissait sous ses coups.
Il m’a retournée. A écarté mes jambes. Et m’a prise en missionnaire, en plein soleil, sans ombre.
Ma chatte dégoulinait. Mes yeux brûlaient de lumière. Je ne voyais que lui.
Et je jouissais.
Fort. Longtemps. Comme une salope exposée.
Il a fini sur mon ventre, et je suis restée nue, cuisses ouvertes
Il a grogné. A ralenti. Puis a explosé.
Son sperme chaud sur mon ventre brûlant. Son torse contre le mien.
Et moi, nue, offerte, trempée.
Il s’est levé. A remis son short.
Moi, je suis restée là.
Baisée. Salie. Marquée par le soleil. Et par lui.
