Il m’a baisée au bled, dans une chambre sans verrou

C’était censé être un été calme, en famille

J’étais partie au bled pour me reconnecter. La famille. La chaleur. Le silence.
Mais dès le deuxième jour, j’ai croisé son regard. Un voisin. Loin de la ville. Loin du contrôle. Grand, brun, sec.
Il me dévorait des yeux. Et moi, je mouillais déjà.

Je portais une robe longue, légère. Rien dessous. C’était trop chaud. Mon corps bouillonnait. J’étais en manque.

Il est entré par la fenêtre, comme un voleur

Il m’a envoyé un message.
"Ce soir. Minuit. J’monte par le mur."
J’ai répondu : "J’serai nue."

Il est entré par la fenêtre de la chambre d’ami, comme prévu. Pieds nus. Sans un mot.
Je l’attendais allongée. La lumière d’un téléphone posée au sol.
Il a fermé la fenêtre. Pas la porte. Pas de verrou.
On pouvait se faire choper. Et c’est ça qui me faisait trembler.

Il m’a prise comme une pute, au bord du lit

Il a écarté ma robe. A craché sur ma chatte. M’a pénétrée d’un coup. Sans prévenir.
J’ai étouffé un cri dans l’oreiller. Il me tenait fort, m’enfonçait sa queue en grognant.
Je l’entendais me dire que j’étais une salope. Une traînée venue se faire remplir au bled.

Et je l’étais.

Mes seins claquaient sur le matelas. Mes genoux glissaient. Mon ventre brûlait. Il me baisait comme un animal affamé, et je suppliais pour plus.

— C’est ça que t’es venue chercher ici ?
— Oui… défonce-moi.

Je jouis dans le silence du village

Les chiens au loin. Les voix étouffées. La nuit chaude.
Et moi, à quatre pattes, en train de jouir comme une salope étrangère dans une chambre sans serrure.

Je suis venue fort. Plusieurs fois. Il a tenu. Longtemps.
Puis il m’a retournée, m’a craché dans la bouche, et m’a pilonnée jusqu’à l’orgasme final.

Il a joui sur mon ventre. En grondant. En se retenant de hurler.

Il s’est rhabillé. Et a sauté par la fenêtre.

Pas un mot. Il a enfilé son jean. A remis son t-shirt.
Un dernier regard. Et il a disparu comme il est venu.

Moi, j’étais nue, salie, brûlante, la chatte ouverte, trempée.
Et j’ai souri.

Baiser au bled.
Sale, risqué, interdit.
Et exactement ce qu’il me fallait.